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7 conseils pour bien dormir dans les bois.


En Guadeloupe, bien dormir dans les bois, ça ne s’improvise pas. Tu en as peut-être marre de ton train train quotidien ? Il t’arrive parfois de te demander si tout cela a un sens ? Je comprends bien pour avoir vécu le rythme du « métro boulot dodo », qu’on a souvent la tête dans le guidon. Cela nous empêche de prendre du recul et de nous éloigner un instant, de nos préoccupations. Souvent, on a envie de faire une excursion de quelques jours dans la nature, de reconnecter avec la vie, mais rien ne se passe, à moins qu’on le décide.

C’est l’expérience que j’ai vécue avec quelques amis dont Alex Nova, qui nous a guidé pour cette expérience surprenante. Ensemble (une équipe de 9 personnes), nous avons vécu dans les bois pendant 4 jours et 3 nuits. C’est une expérience marquante parce que je voulais déjà le faire depuis des années, mais que j’en avais peur à chaque fois.

Dans cet article je vais t’expliquer comment te préparer, si un jour tu désires comme moi, partir en forêt et y dormir quelques jours avec des amis. Pour rappel, la Guadeloupe est une île des Caraïbes avec un climat tropical. Nous avons la chance de n’avoir aucun animal dangereux. Les plus gros prédateurs naturels ici, sont des insectes, tels que les scolopendres. Alors, nous n’avions rien à craindre pour nos vies, durant ces quelques jours de bivouac.

Voilà quelques conseils pour toi, si tu veux répéter l’expérience de ton côté.

1) Comment choisir le lieu, pour bien dormir dans les bois ?

Le choix du lieu est déterminant. En Guadeloupe, il vaut mieux avoir un endroit dédié au camping, si on désire être tranquille. Au moins sur un terrain privé, personne ne peut venir vous déranger. Le choix du lieu pour bien dormir dans les bois, est crucial. Même-si on est sur un terrain privé, se retrouver au beau milieu de la mangrove et des moustiques, n’est jamais bien agréable.

1) Quel type d’endroit choisir, pour bien dormir dans les bois ?

Pour notre immersion, nous avons choisi un terrain privé sur les hauteurs de la côte sous le vent, avec un cadre magnifique nous offrant la vue sur mer. L’endroit était calme et à au moins 15 minutes à pied de la première habitation, histoire de ne pas déranger avec la fumée du campement, le bruit et nos éclats de rire. Nous avons choisi un site en hauteur, qui nous a permis de bénéficier d’un air pur. D’ailleurs, ce terrain se trouve en pleine forêt, au sommet d’une colline abrupte. Pour une question de confort, je te recommande de t’installer sur un terrain le plus plat possible. Tu m’en remercieras, l’heure du sommeil venue.

2) La forêt et les avantages de dormir dans les bois

La forêt a cet avantage de nous reconnecter à l’essentiel, dans la minute. Elle nous met en contact avec tous les éléments : 

  • L’eau dont nous avons besoin pour survivre et qui tombe parfois du ciel
  • La terre omniprésente qui nous a permis de nous reposer la nuit venue
  • Le vent qui nous a manqué parfois au milieu de la fournaise tropicale, mais qui nous a tout de même bercé de son chant, dans les feuilles et branches de la forêt.
  • Le feu dont nous avons profité pour préparer nos repas et nous éclairer, même-si nous avions les lampes frontales.C’est l’élément qui nous a le plus rapproché car la nuit tombée, nous nous retrouvions autour du feu, pour partager des moments conviviaux.

La forêt nous permet de revenir à l’essentiel et de nous rapprocher de notre état naturel. Elle nous met dans une position humble, nous rappelant par exemple qu’une forêt est faite de plusieurs centaines de millions de feuilles, dansant dans le vent, au gré des bourrasques et autres manifestations du vent.

Le bruit de la nature a un effet particulier sur le sommeil. Au départ on n’est pas habitué à dormir (dans nos tantes) parmi les grenouilles. Seulement à la seconde nuit, l’habitude vient d’elle même. Les bruits et l’ambiance font une énorme différence, avec le monde de la ville.

3) Le sol, support et danger quand on veut dormir dans les bois.

Dormir à même le sol est le plus simple, quand on bénéficie d’une faible logistique. Ainsi, si c’est l’option que tu choisis, dans un premier temps, nettoies le sol. Débarrasse le des feuilles, pour éviter de te coucher sur un animal.

Repère les souches d’arbres, pour ne pas te coucher sur ces dernières. À chaque fois que tu test ton tapis de sol et ton sac de couchage, assure-toi que tu te sentes à l’aise et bien confortable dans ton bivouac.

Débarrasser le sol de tout ce qui pourrait venir déranger ton séjour, est ta priorité. Cela te demandera de faire des tas de branches et de brindilles, que tu utiliseras probablement pour allumer ton feu, le moment venu.

2) Les bons outils pour dormir dans les bois.

Bien dormir dans les bois, ça se prépare. Ainsi donc si tu souhaites être tranquille avec ton équipe ou seul dans les bois, tu peux choisir de t’équiper de bons outils pour cela.

Je t’en recommanderais certains que j’ai déjà en ma possession : 

1) L’éclairage : Je te recommande prendre une lampe frontale. Il vaut mieux en prendre une qui s’allume également en rouge, car c’est une lumière plus discrète, pour se déplacer de nuit. Elle est bien moins visible que le blanc, surtout à longue distance. Mais tu auras besoin de mener d’autres types d’actions avec tes outils et c’est pour cela que je te recommande également ce qu’il te faut pour >>>

2) Couper : Ton coutelas, ta machette ou un grand couteau feront l’affaire, pour t’aider à te débarrasser les encombrants. Ta hachette te permettra de couper le bois plus facilement. C’est plus pratique pour s’attaquer à de petites branches.

3) Pour dégager : Tes mains oui, mais équipées de gants. Je te recommande de prendre des gants épais, pour éviter toute blessure aux mains. En fonction de l’endroit où tu te trouves, tu peux avoir affaire à des branches et autres types d’encombrants. Sois aux petits soins avec tes mains, elles te le rendront bien.

4) Pour creuser : (le caca et les fours prennent 3 pelles différentes) Dormir dans les bois, ça ne se fait pas sans un minimum de précautions. Creuser est le meilleur moyen d’enterrer ses étrons. En effet, il vaut mieux éviter de laisser ses selles à l’air libre, ce qui en fonction de l’endroit où l’on bivouac, peut attirer des bêtes sauvages, attirées par l’odeur de nos excréments. Pour creuser et enterrer tes déchets, tu auras besoin d’une petite pelle métallique, dont l’objectif principal sera de t’aider à rester discret en nature.

5) Le lien indispensable pour dormir dans les bois

Une bonne ficelle est toujours la bienvenue. En effet, elle peut être utile de centaines de manières différentes permettant d’étendre les vêtements humides, de préparer une douche dans les bois, de maintenir ensemble différents éléments du bivouac, de créer des outils pour vous aider à transporter ce que vous désirez avec vous.

3) Quoi manger, quand on part dormir dans les bois ?

Pousser l’expérience et trouver ce que l’on peut manger dans les environs ? C’est aussi ce que nous avons fait. C’était un moment particulièrement éprouvant. Chacun est venu avec quelques denrées. Seulement, nous avons récolté nos repas essentiellement dans les environs.

1) Les ressources de l’environnement

C’est la saison des mangues (mai 2023). Nous avons mangé pas mal de mangues mûres mais aussi vertes. On les a faites en salade, avec quelques autres légumes et épices. C’était vraiment succulent. Nous avons aussi trouvé des fruits à pains que nous avons fait rôtir dans les bois. Une fois qu’ils étaient prêts, pas même besoin de sel car cette cuisson laisse tout son goût au fruit à pain. Nous avons trouvé un pêcheur des environs, qui nous a fait don de quelques quilles de poisson lion (un délice), et enfin, nous avons bénéficié des autres fruits et légumes que nous avons trouvé sur notre route, en moins grande quantité.

2) La météo

La météo a été un élément déterminant dans l’alimentation et la manière de se nourrir. Par exemple, par temps de pluie, il aurait été plus difficile de trouver les denrées alimentaires nécessaires à notre séjour. En décembre, nous aurions fini trempés sous la pluie, presqu’incapables de sécher nos vêtements, tant l’humidité est prenante à cette période de l’année.

3) Technique de cuisson

De nombreuses techniques de cuisson sont disponibles pour les aventuriers. Nous avons choisi d’opter pour la cuisson à l’étouffée en bord de mer (environ à 2 kms du campement). Après avoir creusé un trou dans le sable d’environ 90 cms de profondeur, nous avons installé un foyer au fond de ce dernier, que nous avons recouvert de pierres volcaniques.

En emmagasinant la chaleur du feu, ces dernières permirent une cuisson optimale à feu doux, de notre dernier repas sur place. Au dessus des pierres, nous avons mis des feuilles de bananiers, puis les aliments que nous avons emballé dans des feuilles de bananiers également. Au dessus de tout cela, nous avons mis une grande toile en jute puis recouvert le tout avec le sable du bord de mer. Il nous a fallu attendre environ 4 heures, pour manger à satiété. C’est une des meilleures techniques de cuisson de poissons que je connaisse. D’ailleurs lors de cette expérience, j’ai mangé du poisson lion pour la première fois.

4) L’ingrédient mystère

Difficile de s’en douter mais l’ingrédient secret n’est rien de plus que l’humain. C’est en créant des liens autour de soi, que nous avons la possibilité de grandir. J’ai vécu une expérience inédite avec chacun des membres de l’excursion du week-end passé. J’ai appris de nombreuses techniques de survie mais j’ai également appris sur un sujet central : l’humain. C’est en fréquentant des Hommes, qu’on le devient. Je me suis retrouvé avec des amis qui dans ces circonstances sont devenus des inconnus, car j’avais tout à apprendre d’eux, dans ce nouvel ensemble de circonstances. Nous avons travaillé sur la cohésion d’équipe, l’entraide, la reconnaissance de l’autre, de son humanité et de ses compétences.

4) Maîtriser le feu, pour dormir dans les bois tranquillement.

Le feu est un élément clé, dans le bon déroulement d’une session dans les bois. Il protège la nuit, contre d’éventuelles intrusions d’animaux (les chiens errants peuvent déranger). Cela éloigne les insectes avec sa fumée (moustiques et autres). Il permet de rester au chaud, même en cas de temps frais, de pluie ou de bourrasques régulières. De plus, le feu a ce côté mystique auquel nul n’échappe. Il nous tient les uns au près des autres, dans une fascination quand à sa beauté, sa force, son énergie. Le feu est de l’énergie à l’état pur et il lie les hommes, depuis la nuit des temps.

1) Installation du foyer

Nous sommes actuellement dans une période météorologique sèche. L’installation du feu s’est faite sur un petit coin dégagé, loin des arbres morts, avec quelques pierres autour, pour lui permettre de bien démarrer, puis de rester dans les limites que nous lui avons choisies. Gratter le sol, éloigner les feuilles et brindilles, fut une action de prévention, pour nous éviter de mauvaises surprises en pleine nuit par exemple.

Dans la prochaine section, tu vas découvrir une méthode originale pour allumer le feu…

2) Savais-tu ceci, à propos du feu ? (Départ à la Vaseline)

Un des moyens les plus efficaces que j’ai découvert pour allumer le feu dans les bois, est vraiment drôle. Quand je l’ai découvert, j’ai souri car pour moi ça tombait finalement sous le sens. Seulement, personne ne me l’avait dit avant. Alors une chose est sûre c’est qu’à présent que je connais cette technique, elle m’aide dans tous les cas, quand j’ai envie d’allumer un feu dans les bois. Pour cela, tu n’as besoin que de trois outils : du PQ, un briquet et de la Vaseline ! En effet la Vaseline est un produit très inflammable.

Étalée sur un carré de PQ, elle pourrait contribuer à mettre le feu à une forêt entière. C’est un excellent allume feu, qui demande peu d’énergie et qui convient autant aux débutants qu’aux confirmés. Autant il est sage de partir dans les bois avec un rouleau de PQ, tu penseras maintenant à partir de plus, avec au moins une noix de vaseline, lors de tes bivouacs.

3) Ce qu’il faut faire, pour repartir tranquille (éteindre le feu)

Nous le savons. Le feu peut sauver des vies, il peut préserver la vie, mais aussi la prendre. Faisons donc attention à bien l’éteindre, quand nous revenons à la civilisation. Pour ce faire, j’ai une technique simple. Avant de partir, je m’assure que le feu soit le plus bas possible. Je fais quelques trous dans les cendres, à l’aide de ma petite pelle en métal, puis je verse de l’eau dans chaque trou, pour calmer les ardeurs de mon foyer. Une fois que cela est fait, je mélange les cendres entre elles et je vérifie que tout soit bien refroidi et ne représente aucune menace pour les alentours. Je te recommande ne ne partir, que quand tu as la certitude que ton feu est complètement éteint.

5) Constituer et conserver les réserves d’eau.

L’eau, la vie. Celui qui veut avoir le confort minimum dans les bois, ne peut pas négliger de se constituer de bonnes réserves d’eau. Pour ce faire, nous somme chacun venus avec une dizaine de litre d’eau, tant pour la boire que pour notre hygiène sur place. Cela fut une expérience particulière car nous vivons dans une société qui ne fait pas attention à ce genre de détails. À notre époque nous avons tellement de confort, que nous ne sommes presque plus conscients de ce que cela demande de nous amener l’eau au robinet, jour après jour. Avec la nourriture, l’eau, le lieu de repos et les toilettes, nous avons les 4 éléments les plus importants pour bien dormir dans les bois. 

1) Les bouteilles en plastique (avantages et inconvénients)

La bouteille en plastique a l’avantage d’être légère et peu encombrante. Elle est pratique, quand on a besoin de se déplacer rapidement avec une quantité donnée d’eau. Elle est presqu’indispensable. D’autres lui préféreront une gourde ou un contenant en verre, afin d’éviter un de ses principaux inconvénients : les bouteilles en plastique, ça pollue. Chaque bouteille laissée sur le terrain, est une raison supplémentaire de ne plus jamais en ramener. Nous savons que le plastique prend énormément de temps à se désagréger dans la nature. Il vient perturber l’environnement de base et induit parfois des maladies et des déséquilibres hormonaux, pour tous les organismes qui en ingèrent. Il faut donc être prudents avec les bouteilles en plastique car bien qu’utiles, elles peuvent s’avérer gênantes.

2) Je connais une plante qui pourrait t’aider

Ceux qui ont connu la soif à côté d’un cours d’eau potable savent à quel point il est tentant que plonger les lèvres dans un cours d’eau, qu’il soit potable ou non. J’ai moi-même vécu l’expérience de la soif entouré d’eau, à l’île de la Dominique, il y a quelques années de cela. Je peux t’assurer qu’il ne m’a pas fallu plus de trois heures pour me décider à boire à même la rivière que nous longions.

Avant tout je vais te proposer une astuce naturelle, pour éviter cette situation. Avec toi, transporte toujours quelques graines de moringa. Une fois écrasées, elles peuvent être mélangées à l’eau que tu souhaites consommer. Elles ont l’avantage de faire couler tous les résidus lourds et à rendre l’eau propre à la consommation par l’être humain.

Ces graines ont de nombreuses vertus, qui sont encore très peu connues. D’ailleurs si tu en manges une avant de consommer ton eau, tu auras la surprise de trouver un goût sucré à tes réserves d’eau, durant les minutes suivantes. Avoir quelques graines de Moringa dans les bois, est toujours une bonne option.

6) Tu vas bien dormir dans les bois, avec ceci.

Tu vas me remercier pour ce conseil. Premièrement le spray anti moustiques et taons est un des indispensables, dont je n’ai pas parlé plus tôt. En milieu tropical, tu dois absolument t’équiper de ce qu’il faut, pour éloigner les suceurs de sang. Autrement, ils passeront leur temps à te chasser. Étant donné que nous voulons éviter ce type d’inconvénients, il vaut mieux s’y préparer. J’opte pour ma part, à la fois pour la fumée dont nos avons parlé plus haut et aussi pour tous les sprays à base de citronnelle, ce qui aide grandement à tenir les moustiques à l’écart.

7) L’enseignement principal que je retire de cette expérience ?

Si je pouvais résumer mon expérience pour apprendre à dormir dans les bois, j’écrirais simplement ceci : l’équipe, ça compte. L’abondance ne se vit qu’en équipe. De même, la générosité. 

En somme, ce n’est qu’en t’entourant bien, que ton expérience se déroulera bien. Je l’ai vécu à plusieurs reprises et cela m’a permis de comprendre que ce n’est qu’en partageant ce que nous avons de meilleur, que nous obtenons le meilleur des autres également. Bien dormir dans les bois quand on est avec du monde, demande que l’on devienne une meilleure personne pour soi, mais également pour ceux qui partagent notre vie.

Cependant la vie est une affaire d’humains. C’est parmi les membres de notre espèce, que nous bénéficions le plus des bienfaits de la vie. Alors pour bien dormir dans les bois, assure toi d’être avec des personnes qui partagent au moins une partie de ta vision. Cela vous aidera à passer des moments mémorables et à avoir des souvenirs impérissables. C’est ce que je te souhaite, si jamais un de ces quatre, tu souhaites camper dans les bois, en Guadeloupe. Tu peux également revenir vers moi, si tu veux trouver des terrains disponibles à cet effet.

On fait comme ça !?

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Finalement nous sommes de plus en plus nombreux à chercher un moyen de prendre le contrôle de nos vies. Je suis reconnaissant que tu te sois joint à nous pour cette fois. Retiens que le monde ne se bâtit que sur des épaules solides. D’ici la prochaine, garde en tête la citation magique : “Change de vie bro, Agis-Maintenant”.

Je te dis à la prochaine; Ciao ciao !

Je te dis à la prochaine; Ciao ciao !

PS : En 2023 je relève 2 défis : 

  • Appliquer ma méthode d’auto-coaching, à l’industrie du marketing relationnel. Durant les dernières années, elle m’a permis de cesser 7 addictions, prendre confiance en moi, éradiquer mes plus grandes peurs, amener la paix dans mon esprit, gagner mes premiers milliers d’euros dans mon activité d’enseignant en auto-coaching. Pour en prendre connaissance, accède à sa version complète en suivant ce lien : https://johan-greffine.systeme.io/e5fb55f6

– Développer mes compétences en marketing digital. Pour y arriver, j’applique une méthode qui a déjà fait ses preuves dans le monde de l’entrepreneuriat en ligne, notamment avec un entrepreneur français qui a créé un business rentable sur internet. Il raconte son histoire dans un livre que j’ai lu et que je vous recommande vivement. Le livre coûte 14,99 euros mais en ce moment tu peux le télécharger gratuitement en suivant ce lien : https://systeme.io/?sa=sa0022016686a7db6ec4b46b7a9d007c247e3e1edc

Johan.

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