Un autodidacte est tenu de s’améliorer en permanence, si il désire rester à la pointe de sa maîtrise. Mais comment s’y prendre, quand on n’a aucune expérience autodidacte réussie et/ou couronnée de succès ?
Sur ce média, j’aborde les manières de devenir plus autonomes, grâce à l’autodidactie. J’illustre la mise en pratique de « La méthode DÉPARTS© ». Cela inspire ceux qui désirent apprendre par eux mêmes et devenir des autodidactes, dans les domaines de leurs choix.
Voilà des années que je tente d’illustrer ce que j’ai appris sur mon parcours d’autodidacte. Jusque là, j’ai eu du mal à mettre cela en avant. La raison en est simple : le niveau des productions visuelles (même indépendantes). Il est tellement élevé, qu’on ne peut plus s’imposer avec une qualité visuelle ou un contenu médiocre. C’est ce qui m’a poussé à mettre les vidéos de côté. Pourtant si je veux me faire entendre sur mon sujet, il serait mieux qu’on puisse au moins m’entendre. C’est un dilemme que je n’ai pas encore résolu. Pour le moment, je ferais des apparitions à loisir, à visage découvert ou non.
Transition oblige.
L’année 2023 a été compliquée car remplie de doutes. Seulement au fil de cette dernière, mes recherches m’ont amené vers une réflexion. Je suis conscient de n’avoir que de minces ressources. C’est pour cela que j’ai choisi de ne m’intéresser qu’à des activités demandant peu d’investissement financier. Je les choisit pour qu’elles soient suffisamment rentables, grâce aux marges que l’on peut y générer. C’est ce que j’ai tenté d’illustrer en 2021, avec l’aventure d’élevage d’escargots géants d’Afrique.
Je me dirige vers ces activités car si je désire être autonome, je dois avant tout générer des revenus. Afin de générer ces revenus, j’ai besoin d’une source. Si je veux être et rester autonome, autant que cette source m’appartienne. De plus, il vaut mieux que j’ai une capacité de contrôle accrue sur cette dernière. À partir de cela, j’ai décidé de faire un tri parmi toutes les options qui se présentaient à moi.
J’ai opté pour le vivant.
Au même titre que j’ai élevé des escargots en 2021, j’ai choisi pour cette année 2024, de me lancer dans l’expérimentation autodidacte de l’activité de producteur-brasseur de Kombucha. Si le nom ne te dit rien, cela ne durera pas longtemps. Il s’agit d’une boisson fermentée, à base de thé noir sucré. On y dépose une galette composée d’une symbiose de bactéries et de levures. Quand ces différents composants rentrent en contact dans le bon environnement, on assiste à la transformation du thé noir en une délicieuse boisson fermentée. Notons que si celle-ci fermente trop longtemps, elle peut tourner au vinaigre.
J’ai choisi d’opter pour cette culture en terme d’option économique. Je désire développer des possibilités de subsistance, que je pourrais transmettre autour de moi, dans le temps. La galette symbiotique du Kombucha est aussi appelée SCOBY (Symbiotic Culture Of Bacteria and Yeast – Culture Symbiotique de bactéries et de levures). Cette dernière est fascinante. Elle a la capacité de se reproduire à l’infini car comme tout organisme vivant, elle se développe quand il arrive dans un environnement favorable.
L’avis d’un autodidacte, sur la culture du vivant.
Il y a un lien évident entre l’autodidactie et la culture du vivant. On apprend à observer et à comprendre les processus naturels et on devient observateurs des différents cycles de la vie. En cela, la culture du vivant pour développer ses capacités d’autodidacte, permet de nous lier à la conception intellectuelle et au travail artisanal à la fois. Je me trouve donc, à mi-chemin entre la science et l’art. Ce type d’activités est extrêmement stimulant, car elle permet d’utiliser notre interface physique (le corps), sous tous les aspects (physique et mental).
Permettant de favoriser la santé, le Kombucha est un excellent palliatif, pour les personnes qui ont du mal à se passer de sodas. En effet, il vient réduire le besoin en sucre et permet donc d’en limiter la consommation. C’est la principale raison pour laquelle j’ai choisi d’en consommer dans un premier temps, puis d’en produire. Cela m’aide à prendre soin de moi, tout comme des personnes qui me font confiance pour consommer ce que je produis.
Un autodidacte s’améliore en permanence.
Pour s’améliorer sur son parcours comme autodidacte, il faut absolument passer de la théorie à la pratique et ne jamais lâcher l’affaire. Mon cheminement sur les sentiers du développement personnel m’a bien permis de comprendre que le parcours de l’autodidacte ne s’enclenche que s’il en a la volonté. On aura beau lire des livres, faire des formations et des ateliers dans tous les domaines, ce qui aidera le mieux cet autodidacte c’est la mise en pratique délibérée et le désir d’aller au bout de l’aventure entamée.
Pour s’améliorer, l’autodidacte a besoin de tester sa foi dans son projet. Il a besoin de se confronter à la réalité, afin de sortir les enseignements nécessaires à sa croissance future.
Dans l’aventure que j’aborde pour cette année, je vous invita à me suivre tous autant que vous êtes, pour bénéficier de mon retour d’expériences et vous en inspirer tant que possible.
Chaque autodidacte doit suivre son propre chemin.
Bien que nous soyons tous du genre humain, nous avons tous une histoire et des destinées différentes. Seulement, l’autodidactie est un principe naturel et universel, permettant à chacun d’aller dans la direction qu’il a choisie, même avec un but très spécifique. Cela veut dire que peu importe tes objectifs, tu peux utiliser une méthode centrale, pour l’adapter à tes désirs et atteindre tes buts en tant qu’autodidacte. Chaque autodidacte est libre d’utiliser une méthode standard, pour l’adapter à son inspiration. C’est ce que je te propose d’expérimenter au travers d’un coaching offert par mes soins, pour t’aider à prendre le chemin de l’autodidacte et à ne plus jamais le quitter.
J’espère avoir de tes nouvelles rapidement pour qu’ensemble, nous puissions rendre le monde meilleur que nous l’avons trouvé.
À très vite,